Cette figure maintenant connue des médias français a su bâtir un patrimoine estimé entre 1,5 et 3,5 millions d’euros selon les sources.

Son ascension dans l’univers audiovisuel témoigne d’une stratégie professionnelle réfléchie et d’un héritage familial privilégié.

La présentatrice de BFMTV combine revenus médiatiques, investissements immobiliers et patrimoine ancestral pour constituer sa richesse.

Revenus professionnels et contrats médiatiques lucratifs

La carrière d’Apolline de Malherbe dans les médias constitue le pilier principal de sa fortune. Diplômée de Sciences Po Paris, elle rejoint BFMTV en 2007 et gravit rapidement les échelons de la hiérarchie journalistique.

Salaire principal chez BFMTV et RMC

Son poste d’animatrice matinale sur RMC et BFMTV lui assure une rémunération substantielle. Les estimations situent son salaire mensuel brut entre 10 000 et 30 000 euros, incluant un salaire de base de 10 000 euros complété par diverses primes.

Cette fourchette place Apolline de Malherbe dans la catégorie des journalistes stars, bien que son salaire reste inférieur à celui de son prédécesseur Jean-Jacques Bourdin.

La journaliste elle-même s’était d’ailleurs plainte en octobre 2023 dans Libération de “gagner moins que Bourdin” dont elle avait repris le poste. Hervé Beroud, directeur général d’Altice Médias, la décrit comme une animatrice qui “n’a pas sa langue dans sa poche” et qui se distingue en “donnant moins son avis” que son prédécesseur.

Comparaison avec les salaires du secteur

Le tableau suivant illustre la position d’Apolline de Malherbe dans l’écosystème salarial des médias français :

Sources de revenus de la journaliste vedette

Au-delà de son salaire principal, Apolline de Malherbe diversifie ses sources de revenus grâce à sa notoriété. Cette stratégie lui permet d’optimiser ses gains annuels et de sécuriser sa situation financière.

Activités de conférencière et interventions publiques

Ses activités de conférencière sur des sujets politiques et médiatiques représentent une source de revenus non négligeable. Ces prestations, estimées à environ 500 000 euros annuels, incluent des interventions dans des événements privés, forums et colloques.

Les cachets pour ce type de prestations oscillent généralement entre 2 000 et 5 000 euros par intervention, voire davantage selon le prestige de l’événement.

Publications et droits d’auteur

La journaliste complète ses revenus par l’écriture d’ouvrages. Ses livres comme “Le dernier secret” ou “Politique : ils vous mentent”, publiés chez des maisons d’édition reconnues comme Grasset, génèrent des droits d’auteur.

Un auteur de sa notoriété peut espérer entre 8% et 12% de droits sur le prix de vente. Si un ouvrage se vend à 10 000 exemplaires à 20 euros l’unité, cela représente environ 16 000 à 24 000 euros de revenus nets par titre.

Collaborations médiatiques et partenariats

Sa présence régulière dans les médias parisiens lui ouvre des opportunités de collaborations externes. Ces activités comprennent :

• Animation d’événements d’entreprise et séminaires
• Partenariats avec des marques compatibles avec son image
• Émissions spéciales et débats électoraux
• Chroniques dans des médias écrits
• Interventions comme experte politique

Ces diverses activités permettent à Apolline de Malherbe d’atteindre un revenu annuel total estimé à plus de 350 000 euros selon certaines sources.

Patrimoine immobilier et investissements financiers

Comme beaucoup de personnalités publiques fortunées, Apolline de Malherbe a investi une partie significative de ses revenus dans l’immobilier parisien. Cette stratégie patrimoniale témoigne d’une gestion financière prudente et réfléchie.

Résidence principale parisienne

Bien qu’elle reste discrète sur ses biens immobiliers, des recoupements suggèrent qu’elle possède un appartement dans un arrondissement prestigieux de Paris. Le marché immobilier parisien, notamment dans les 6e et 7e arrondissements, affiche des prix moyens autour de 11 000 euros le mètre carré.

Un appartement de 80 m² dans ces quartiers prisés représenterait une valeur d’environ 900 000 euros, constituant ainsi un pilier de son patrimoine.

Stratégie de diversification patrimoniale

Sa gestion patrimoniale s’appuie vraisemblablement sur plusieurs leviers financiers. Avec ses revenus réguliers et élevés, elle a probablement mis en place une stratégie d’investissement diversifiée incluant assurance-vie, épargne en unités de compte et portefeuille d’actions.

Cette approche prudente explique l’accumulation progressive de sa fortune, estimée entre 1,5 et 3,5 millions d’euros selon les sources.

Héritage familial et château de Poncé-sur-le-Loir

L’héritage familial d’Apolline de Malherbe constitue un élément distinctif de son patrimoine. Issue d’une famille aristocratique, elle bénéficie d’un background privilégié qui influence sa situation financière globale.

Le château familial et son histoire

Le château de Poncé-sur-le-Loir, manoir Renaissance transmis dans la famille depuis cinq générations, représente un héritage symbolique majeur. Sa valeur est estimée à plusieurs millions d’euros selon certaines évaluations.

Ce domaine, construit vers 1542 et classé monument historique, a bénéficié en 2020 d’une subvention pour restauration grâce au Loto du patrimoine. Contrairement aux rumeurs de favoritisme, le service Check News de Libération a confirmé la régularité de cette attribution.

Origines familiales prestigieuses

Son père Guy de Malherbe, peintre et propriétaire du château, et sa mère Marie-Hélène de La Forest Divonne, galeriste influente, évoluent dans l’univers artistique parisien. Cette famille cultive depuis des générations un patrimoine culturel et financier significatif.

Le lien avec François de Malherbe, poète du XVIIe siècle, ajoute une dimension historique à son héritage. Cette filiation illustre transparaît dans son approche journalistique, marquée par la rigueur analytique et le sens de la formule.

Influence du statut social sur l’accumulation de richesse

Le parcours d’Apolline de Malherbe illustre parfaitement comment le capital social et culturel facilite l’accumulation de richesse. Son origine familiale privilégiée lui a ouvert des portes dans l’univers médiatique parisien.

Réseau professionnel et opportunités

Née le 21 mars 1980 dans le 16e arrondissement de Paris, elle a grandi dans un environnement favorisant les connexions professionnelles. Son passage par Sciences Po Paris et la Sorbonne l’a mise en contact avec les futurs décideurs des médias français.

Cette proximité avec les élites parisiennes se manifeste même dans sa vie privée : elle partage un lien de parenté lointain avec Gabriel Attal, remontant à un ancêtre commun en 1811 sous Napoléon.

Valorisation de l’image et notoriété

Sa notoriété médiatique constitue un actif immatériel considérable. Cette “valeur image” lui permet de négocier des contrats plus avantageux et d’accéder à des opportunités lucratives.

Mère de quatre enfants, dont deux avec son premier mari Alexis Morel (ancien conseiller de Nicolas Sarkozy) et deux avec Harold Hauzy (psychanalyste), elle jongle entre vie familiale et carrière exigeante tout en préservant son capital réputation.

Sa capacité à maintenir une image sobre et sérieuse, loin de l’extravagance, renforce sa crédibilité professionnelle. Cette stratégie de communication maîtrisée contribue directement à la valorisation de son patrimoine et à l’expansion de ses opportunités de revenus.